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conductivitĂ©thermique acier en fonction de la tempĂ©rature. appartement strasbourg centre location; configurateur alternate; carrelage bois extĂ©rieur; moustiquaire enroulable; client potentiel marketing; vide grenier basse-normandie 2021; plaque de commande wc universel; crise immobiliĂšre chine; formation hypnose emdr; joint caoutchouc porte CestempĂ©ratures s'entendent uniquement pour souder. Le travail normal de forge doit ĂȘtre effectuĂ© Ă  une tempĂ©rature moindre (rouge / orangĂ©) La maĂźtrise des tempĂ©ratures est un point capital du travail de forge. Cela s'apprend avec l'expĂ©rience, et surtout en allant regarder travailler un artisan expĂ©rimentĂ©. LarĂ©action est rĂ©versible: si la tempĂ©rature redescend, la couleur originale de la teinture rĂ©apparaĂźt. LancĂ© pour la Fashion Week de Londres, le produit n'est pas encore commercialisĂ©. boutiquehermĂšs rue de sĂšvres architecte; camĂ©ra espion boulanger; chaque histoire a une fin citation; comment faire une annonce pour proposer ses services; visiter les Ă©tats-unis covid; Cettefeuille de specs, mentionne une variation de la couleur Ă©mise en fonction du courant, et le courant varie avec la tempĂ©rature si ce n'est pas le paramĂȘtre que contrĂŽle l'alimentation. x et y diminuent avec l'augmentation du courant, elle devient donc plus bleue, ça passe de {x:0.302 ; y:0.293} Ă  {x:0.290 ; y:0.275}. On pourra faire Site Pour Rencontrer Des Femmes Asiatiques. DĂ©finition Qu'est-ce que de la tempĂ©rature de couleur en Ă©clairage ? Une notion qui qualifie la sensation visuelle et sa chromaticitĂ© lumiĂšre. Pour la lumiĂšre, la tempĂ©rature de couleur Tc est dĂ©finie au niveau international par l’IEC avec deux Ă©noncĂ©s. TempĂ©rature du radiateur de Planck dont le rayonnement a la mĂȘme chromaticitĂ© que celle d’un stimulus donnĂ© ». TempĂ©rature de couleur, dĂ©finition IEC, n°845-03-49 Cette dĂ©finition est Ă  rapprocher d’emblĂ©e de celle de la tempĂ©rature de couleur proximale, notion voisine, mais dĂ©finie comme ceci TempĂ©rature du radiateur de Planck dont la couleur perçue ressemble le plus, dans des conditions d’observation spĂ©cifiĂ©es, Ă  celle d’un stimulus donnĂ© de mĂȘme luminositĂ© ». TempĂ©rature de couleur proximale, dĂ©finition IEC, n°845-03-50 UnitĂ© de la couleur de la lumiĂšre Une seule et mĂȘme unitĂ© est utilisĂ©e le Kelvin. Le symbole K. L’erreur courante est de parler de degrĂ© kelvin ». Nous citerons, par exemple, une tempĂ©rature de 6500 Kelvins. En bref, c’est la lumiĂšre du jour normalisĂ©e par la CIE, 6500 K, quand le soleil est au zĂ©nith. Une teinte de blanc trĂšs froid. TempĂ©rature de couleur en Ă©clairage naturel © Vincent Laganier – photo Gerard Giesbers TempĂ©rature des sources lumineuses Il faut ĂȘtre prudent Ă  la qualification de la teinte de la tempĂ©rature de couleur. Plus la valeur de la tempĂ©rature en Kelvin augmentera, plus elle sera qualifiĂ©e de froide ». Plus la valeur de la tempĂ©rature en Kelvin baissera, plus elle sera chaude ». C’est l’inverse de la tempĂ©rature d’ambiance en Celsius. Selon le type de sources lumineuses installĂ©es, elle sera plus ou moins chaude. Tableau de synthĂšse des tempĂ©ratures de couleur en lumiĂšre naturelle et artificielle © Light ZOOM LumiĂšre TempĂ©rature de couleur Source lumineuse naturelle et artificielle 10000 K Ciel borĂ©al 9000 K Lampe Ă  arc Ă©lectrique 6500 – 9500 K Écran d’ordinateur, de tĂ©lĂ©phone portable – LCD 6500 – 8000 K Ciel nuageux 6500 K LumiĂšre du jour – D65 3000 K Ă  5600 K Lampe aux iodures cĂ©ramiques 2800 K Ă  5600 K Lampe aux halogĂ©nures mĂ©talliques 2400 K Ă  6500 K Diode Ă©lectroluminescente – LED 2700 K Ă  5000 K Lampe fluorescente et fluocompacte 3200 K Lampe halogĂšne 2500 Ă  2800 K Lampe Ă  incandescence 2500 K Lampe au sodium blanc 1950 K Ă  2200 K Lampe au sodium haute pression 2000 K Soleil Ă  l’horizon 1850 K Bougie 1000 K Ă  1500 K Lave en fusion Usages de la tempĂ©rature de couleur en Ă©clairage En Ă©clairage, les qualificatifs chaud » et froid » sont trĂšs couramment utilisĂ©s et font parties des mƓurs. Les sources lumineuses sont qualifiables avec leurs tempĂ©ratures de couleur proximale. Les lampes traditionnelles ont des tempĂ©ratures standardisĂ©es exemple pour le sodium haute pression, voisin de 2000 K. Les LED offrent des tempĂ©ratures bien plus nombreuses. Changement de tempĂ©rature de couleur dans une rue, Le Castellet, France © MaĂźtre d’ouvrage Symielec Var Ă  gauche source sodium haute pression, aux environs de 2000 K blanc orangĂ©e Ă  droite source aux iodures mĂ©talliques, aux environs de 2850 K blanc chaud. Sensation visuelle et couleur de la lumiĂšre En fonction de la tempĂ©rature, la sensation visuelle n’est pas la mĂȘme. Les travaux de Kruithof ont dĂ©montrĂ© la relation entre la tempĂ©rature de couleur K, le niveau d’éclairement lux, la sensation Ă  plusieurs niveaux un rendu trop chaud, un rendu trop froid, ou alors une zone dite de confort, oĂč le juste Ă©quilibre serait trouvĂ©. Aujourd’hui, depuis le rĂ©cent arrĂȘtĂ© du 27 dĂ©cembre 2018 Nuisances lumineuses », des indications de tempĂ©ratures de couleur maximales sont introduites exemple 3000 K pour certains usages. À noter toutefois que l’arrĂȘtĂ© parle de tempĂ©rature de couleur » pas de proximale, un raccourci aujourd’hui abusif. DiffĂ©rences concrĂštes entre les deux dĂ©finitions IEC et corps noir Depuis toujours, les sources traditionnelles d’éclairage pouvaient ĂȘtre qualifiĂ©es de thermiques » flamme, soleil, filament d’une ampoule Ă  incandescence. Ces sources prĂ©sentent un rayonnement proche d’un objet appelĂ© le corps noir ». En simplifiant, la tempĂ©rature de couleur est la tempĂ©rature Ă  laquelle il faudrait chauffer un corps noir » pour obtenir cette mĂȘme teinte de blanc. Courbes de rayonnement du corps noir Ă  diffĂ©rentes tempĂ©ratures selon l’équation de Planck comparĂ©es Ă  une courbe Ă©tablie selon la thĂ©orie classique de Rayleigh et Jeans © Darth Kule, WikipĂ©dia On obtient alors un systĂšme de rĂ©fĂ©rence colorimĂ©trique dit CIE 1931 » reprĂ©sentant le tracĂ© du corps noir dans le diagramme colorimĂ©trique. Il est aussi appelĂ© lieu des corps noirs » ou Planckian locus ». Courbe du corps noir de Planck et tempĂ©rature de couleur © WikipĂ©dia Puis les sources non thermiques sont apparues tubes fluorescents et bien sur LED, la notion de tempĂ©rature de couleur n’est plus strictement adaptĂ©e. On parlera alors avec rigueur de tempĂ©rature de couleur proximale CCT en anglais pour Correlated Colour Temperature. En simplifiant toujours, cette tempĂ©rature proximale est la tempĂ©rature de couleur la plus proche du point le plus proche du corps noir. Nous ferons de suite la relation entre les segments ci-dessous de la tempĂ©rature de couleur proximale avec les ellipses de Mac Adam prĂ©sentĂ©es prĂ©cĂ©demment dans un article sur le Binning LED. Norme française AFNOR En normalisation française, la norme NF X08-017 de juin 2016 est la rĂ©fĂ©rence en matiĂšre d’évaluation des tempĂ©ratures de couleur proximale. Son but est aussi explicite que la diffĂ©rence entre les deux notions prĂ©cĂ©demment expliquĂ©es Le prĂ©sent document a pour objet de caractĂ©riser par une grandeur unique la lumiĂšre Ă©mise par une source primaire de lumiĂšre, ou le rayonnement d’un illuminant, et de l’évaluer par la tempĂ©rature du radiateur de Planck qui possĂšde la couleur la plus proche ». AFNOR Approfondir le sujet Spectre lumineux et continu du corps noir NF X08-017 Ă©valuation de la tempĂ©rature de couleur proximale des sources de lumiĂšre Indice de rendu des couleurs Les LED pour l’éclairage, Laurent Massol, Éditions Dunod 25 questions pour comprendre l’arrĂȘtĂ© nuisances lumineuses Nuisances lumineuses Librairie Eyrolles, indĂ©pendante, artistique et technique 40 livres lumiĂšre sur l’art, l’architecture et le design Ă  partager Poursuivez votre recherche Directeur gĂ©nĂ©ral de SociĂ©tĂ© Architecture RĂ©seaux SARESE, cabinet d’ingĂ©nierie en rĂ©seaux secs spĂ©cialisĂ© en Ă©clairage extĂ©rieur, fondĂ© en 1993. Directeur gĂ©nĂ©ral de l’IFEP Institut de Formation Éclairage Professionnel, leader français de la formation aux techniques de la lumiĂšre et de l’éclairage. Expert AFNOR de la Commission U17 et membre du groupe de travail de l’AFE en Commission X90X. Praticien et passionnĂ© d’éclairage extĂ©rieur, il est auteur de deux livres aux Ă©ditions Light ZOOM LumiĂšre 25 questions pour mieux comprendre l’arrĂȘtĂ© nuisances lumineuses en 2020, Éclairage des passages pour piĂ©tons en 2021. Livres TraitĂ© de la lumiĂšre, Libero Zupirolli, Marie-NoĂ«lle Bussac, Christiane Grimm Entre livre de science et livre d'art, le TraitĂ© de la lumiĂšre, de Libero Zupirolli et Marie-NoĂ«lle Bussac est superbement illustrĂ© des photographies de Christiane Grimm.→ En savoir plus... Éclairages de la maison, intĂ©rieurs et extĂ©rieurs Quels sont les Ă©clairages de la maison qui crĂ©er une atmosphĂšre ? Valoriser les reliefs, jouer des agencements et des couleurs. IntĂ©rieur/extĂ©rieur.→ En savoir plus... De l’identification des pigments au rendu des couleurs La vision et mesure de la couleur, de Paul Kowaliski. Physique de la couleur, de Robert SĂšve. Art et science de la couleur, de Georges Roque.→ En savoir plus... L'homme qui marchait dans la couleur - James Turrell Avec l'Ɠuvre de James Turrell, le sculpteur, couleur, espacement, limite, ciel, horizon et immensitĂ© du dĂ©sert deviennent palpables.→ En savoir plus... L'Ă©tonnant pouvoir des Couleurs, de Jean-Gabriel Causse Vous lisez peut-ĂȘtre ce texte parce que le Bleu de la couverture a accrochĂ© » votre regard. L'Ă©tonnant pouvoir des Couleurs, de Jean-Gabriel Causse.→ En savoir plus... LumiĂšres du futur, de Libero Zuppiroli et Daniel Schlaepfer Sur un ton direct, LumiĂšres du futur, de Libero Zuppiroli et Daniel Schlaepfer, le livre prĂ©sente une approche croisĂ©e scientifique et artistique.→ En savoir plus... ï»żLes couleurs de la trempe Ceci pourra vous donner une idĂ©e approximative de la tempĂ©rature d'un acier en fonction de sa couleur, utile pour la trempe Valable uniquement pour un acier au carbone les couleurs peuvent changer sensiblement pour un acier inox, attention ! Ce tableau est assez fidĂšle mais le rendu des couleurs peut aussi varier en fonction de votre Ă©cran ou de votre imprimante. Auteurs Marc GRUMBACH IngĂ©nieur Civil des Mines - IngĂ©nieur Ă  l’Institut de Recherches de la SidĂ©rurgie Française IRSID INTRODUCTION Le vieillissement est une Ă©volution dans le temps des propriĂ©tĂ©s des matĂ©riaux Ă  des tempĂ©ratures proches de la tempĂ©rature ambiante. Or, les mĂ©taux et les aciers en particulier sont formĂ©s de grains dont la structure cristalline est trĂšs stable et n’est modifiable que par des transformations de phase Ă  haute tempĂ©rature ou par des prĂ©cipitations de composĂ©s en gĂ©nĂ©ral au-dessus de 500 oC. De ce fait, les propriĂ©tĂ©s des aciers n’évoluent normalement pas en fonction du temps. Il existe nĂ©anmoins un phĂ©nomĂšne d’évolution de propriĂ©tĂ©s Ă  basse tempĂ©rature en relation avec la diffusion d’atomes interstitiels mobiles de carbone et d’azote sous certaines conditions c’est ce phĂ©nomĂšne que l’on dĂ©signe par vieillissement des aciers. Lire l’article Lire l'article BIBLIOGRAPHIE 1 - HALL - Yield point phenomena in metal and alloys. - Macmillan 1970. 2 - JAOUL B. - * - PlasticitĂ© des mĂ©taux. Dunod. 3 - GRUMBACH M., SANZ G. - Vieillissement aprĂšs Ă©crouissage. - CIT du CDS, p. 1 285, 27 mai 1970. 4 - DE FOUQUET J. et coll - Étude du vieillissement aprĂšs trempe et aprĂšs Ă©crouissage d’aciers Ă  bas carbone entre 20 et 100 oC. - MĂ©m. Scient. Rev. MĂ©t. 61, p. 525 1964. 5 - GUILLOT J., MICARD, CAISSO J. - Bandes de LĂŒders et phĂ©nomĂšne de Portevin – Le Chatelier. - MĂ©m. Scient. Rev. MĂ©t., LVIII, no 7 1961. 6 - CRUSSARD C. - Contribution Ă  la thĂ©orie de la limite Ă©lastique du fer et des aciers doux. - ... DÉTAIL DE L'ABONNEMENT TOUS LES ARTICLES DE VOTRE RESSOURCE DOCUMENTAIRE AccĂšs aux Articles et leurs mises Ă  jour NouveautĂ©s Archives Articles interactifs Formats HTML illimitĂ© Versions PDF Site responsive mobile Info parution Toutes les nouveautĂ©s de vos ressources documentaires par email DES ARTICLES INTERACTIFS Articles enrichis de quiz ExpĂ©rience de lecture amĂ©liorĂ©e Quiz attractifs, stimulants et variĂ©s ComprĂ©hension et ancrage mĂ©moriel assurĂ©s DES SERVICES ET OUTILS PRATIQUES Votre site est 100% responsive, compatible PC, mobiles et tablettes. 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Introduction[modifier modifier le wikicode] L'acier a Ă©tĂ© dĂ©couvert trĂšs tĂŽt dans l'histoire car sa matiĂšre premiĂšre est abondante minerai, et qu’il est facile Ă  travailler. L'acier de base » est de fait peu onĂ©reux. MatĂ©riau par excellence de la rĂ©volution industrielle, c’est celui qui a Ă©tĂ© le plus Ă©tudiĂ©. Il existe de nos jours de nombreuses nuances aux propriĂ©tĂ©s trĂšs diverses. Le diagramme fer-carbone[modifier modifier le wikicode] Diagramme binaire fer-carbone Comme vu prĂ©cĂ©demment, le principal Ă©lĂ©ment d'alliage du fer est le carbone. Selon la teneur, on parle de fer moins de 0,008 % de carbone en masse limite de solubilitĂ© du carbone dans le fer α Ă  tempĂ©rature ambiante ; acier entre 0,008 et 2,11 % de carbone ; fonte teneur supĂ©rieure Ă  2,11 %. Ces valeurs peuvent varier selon les auteurs. En particulier, certains placent la frontiĂšre entre acier et fonte Ă  1,75 %C, en se basant sur les phases formĂ©es Ă  forte vitesse de refroidissement. Au fait, si vous trouvez un manuel de mĂ©tallurgie un peu ancien, vous trouverez comme dĂ©finition un acier est un alliage Fer-Carbone oĂč le carbone varie de Ă  %, au delĂ  il s'agit de la fonte car on ne peut plus rĂ©aliser la trempe martensitique. Avec la multiplication des aciers alliĂ©s, on a pu ramener ces valeurs Ă  % de Carbone. C'est la limite supĂ©rieure actuelle pour obtenir de l'acier par le processus de "trempe martensitique". Mais dans la table des aciers, on peut trouver certains aciers avec des concentrations de carbone bien supĂ©rieures, ces alliages ne sont pas obtenu par trempe mais par frittage. Diagramme fer-carbone restreint aux aciers Dans la partie Ă©tudiĂ©e, entre 0 et 6,67 % en masse de carbone, le diagramme binaire fer-carbone prĂ©sente un eutectoĂŻde appelĂ© perlite Ă  0,77 %C et un eutectique appelĂ© lĂ©dĂ©burite Ă  4,30 %C. On ne s'intĂ©resse pas aux transformations en phase ÎŽ Ă  haute tempĂ©rature zone en haut Ă  gauche. Au vu de ce diagramme les aciers sont les alliages ne contenant pas d'eutectique ; les fontes contiennent de l'eutectique, et par rapport aux aciers, elles ont une tempĂ©rature de fusion plus basse. Dans la partie des aciers moins de 2,11 % de carbone, Ă  haute tempĂ©rature, le fer a une structure appelĂ©e austĂ©nite ou fer Îł ; c’est une maille cubique Ă  faces centrĂ©es. En refroidissant, l'austĂ©nite se transforme en ferrite, Ă©galement appelĂ©e fer α, de structure cubique centrĂ©e. Comme nous l'avons vu prĂ©cĂ©demment, les sites interstitiels de l'austĂ©nite sont plus grands que ceux de la ferrite. Le fer Îł peut donc stocker » plus de carbone que le fer α. Ainsi, lors du refroidissement, la transformation Îł → α chasse le carbone. Celui-ci se concentre dans l'austĂ©nite qui ne s'est par encore transformĂ©e, et vient former des carbures de fer Fe3C appelĂ©s cĂ©mentite ». On obtient donc Ă  tempĂ©rature ambiante une structure biphasĂ©e ferrite + cĂ©mentite. Mise Ă  part pour les faibles teneurs en carbone, une partie de la cĂ©mentite forme des lamelles avec la ferrite dans une structure appelĂ©e perlite eutectoĂŻde. Pour certaines fontes, le carbone peut prĂ©cipiter sous forme de graphite. On a alors un diagramme de phases diffĂ©rent, et l'eutectique fer/graphite ne porte pas de nom particulier le terme lĂ©dĂ©burite dĂ©signe l'eutectique fer/cĂ©mentite. Structure Ă  l'Ă©quilibre[modifier modifier le wikicode] Structure cristalline des aciers Ă  l'Ă©tat recuit À l'Ă©tat stable, dit recuit », la structure de l'acier dĂ©pend de la composition en dessous de 0,008 % de carbone en masse, le carbone est entiĂšrement dissout dans la maille de fer α ; on parle de fer » ; entre 0,008 et 0,022 %C, on a dĂ©passĂ© la limite de solubilitĂ© du carbone dans le fer ; le carbone forme du carbure de fer Fe3C appelĂ© cĂ©mentite » ; ce sont des aciers extra-doux, qui ont une limite Ă©lastique Re faible ; entre 0,022 et 0,77 %C, on a une structure biphasĂ©e ferrite/perlite la perlite est un eutectoĂŻde lamellaire ; les grains de ferrite peuvent ĂȘtre de forme rĂ©guliĂšre, ou bien aciculaires en forme d'aiguille, on parle alors de structure de WidmanstĂ€tten » ; cette structure est fragile et a une mauvaise rĂ©sistance Ă  la corrosion, raison pour laquelle on l'Ă©vite ; pour 0,77 %C, on a uniquement de la perlite ; entre 0,77 et 2,1 %C, on a une structure biphasĂ©e cĂ©mentite/perlite. La cĂ©mentite est une structure ordonnĂ©e, donc trĂšs dure Ă  haute limite Ă©lastique. Par ailleurs, la perlite a de nombreux joints de grain entre les lamelles, ce qui augmente la limite Ă©lastique loi de Hall-Petch. On en dĂ©duit donc que la limite Ă©lastique, et donc la duretĂ©, de l'acier recuit augmente avec la teneur en carbone. Germination des phases de l'acier Ă  partir des grains d'austĂ©nite au cours du refroidissement ; acier hypo- et hypereutectoĂŻde À haute tempĂ©rature, au dessus du solvus A3, on a une phase unique, l'austĂ©nite. Les diffĂ©rentes phases Ă©voquĂ©es ci-dessus se forment au cours du refroidissement. La germination des phases se fait sur les dĂ©fauts points triples et joints de grain de l'austĂ©nite. On voit donc que la taille des grains de l'austĂ©nite joue un rĂŽle important sur la structure finale de l'acier. Si l'acier passe un long sĂ©jour » dans la zone d'austĂ©nite, les grains d'austĂ©nite croĂźssent. Si cela est suivi d'un refroidissement rapide, la ferrite proeutectoĂŻde croĂźt selon des direction particuliĂšres du cristal de fer Îł, ce qui donne la forme d'aiguilles de la structure de WidmanstĂ€tten. Pour un acier hypoeutectoĂŻde, on passe d’abord par une zone α + Îł entre les tempĂ©ratures A3 et A1, on a donc d’abord formation de ferrite dite proeutectoĂŻde » qui se forme avant l'eutectoĂŻde qui prend la place des joints de grain ». Puis, la perlite se forme Ă  la tempĂ©rature A1. On se retrouve frĂ©quemment avec des grains de perlite entourĂ©s de ferrite. Pour un acier hypereutectoĂŻde, on passe d’abord par une zone cĂ©mentite + Îł entre les tempĂ©ratures Acm et A1, on a donc d’abord formation de cĂ©mentite proeutectoĂŻde qui prend la place des joints de grain ». Puis, la perlite se forme Ă  la tempĂ©rature A1. Traitements thermiques[modifier modifier le wikicode] Trempe[modifier modifier le wikicode] Trempe d'un acier Ă  0,45 % de carbone diagramme binaire fer-carbone mettant en Ă©vidence les tempĂ©ratures critiques A1 et A3, figure de gauche, courbe de chauffage rouge et diagrammes permettant de voir l'avancĂ©e des transformations diagramme TTT au chauffage, et TRCS Ă  la trempe, figure de droite Le principal traitement thermique de l'acier est la trempe. Contrairement Ă  d'autres mĂ©taux, le but n’est pas ici de figer la structure Ă  haute tempĂ©rature, mais de crĂ©er une phase mĂ©tastable, c'est-Ă -dire instable, mais dont la transformation est trop lente Ă  basse tempĂ©rature pour avoir lieu Ă  l'Ă©chelle humaine la martensite ou la bainite. Cette phase mĂ©tastable entraĂźne un durcissement trĂšs important, elle augmente la limite Ă©lastique. On chauffe au dessus de la tempĂ©rature A3, pendant suffisamment longtemps pour que les carbures cĂ©mentite et lames de la perlite se dissolvent, mais pas trop longtemps pour que les grains d'austĂ©nite ne grossissent pas trop. C'est la phase d'austĂ©nitisation. Structure cristalline de la martensite ; seul 1/40 des sites de carbone est occupĂ© Micrographie optique d'un acier martensitique Puis, on trempe l'acier. À l'origine, cela se faisait en trempant la piĂšce dans de l'eau. On peut utiliser plusieurs mĂ©thodes selon la vitesse de refroidissement que l’on veut atteindre ; voici quelques exemples de chaleur absorbĂ©e par seconde de traitement trempe Ă  l’air refroidissement Ă  l'air libre 4⋅104 W/m2 ; trempe Ă  l’huile Ă  150 °C 33⋅104 W/m2 ; trempe Ă  l’eau Ă  20 °C 500⋅104 W/m2. Lors de la trempe, l'eau peut se vaporiser au contact du mĂ©tal et former une couche de vapeur qui ralentit le refroidissement calĂ©faction. Si le refroidissement est suffisamment rapide, les transformations displacives ont le temps de se produire, mais pas les transformations diffusives les atomes de fer se rĂ©organisent selon la structure ferritique cubique centrĂ©e, mais le carbone n'a pas le temps de diffuser pour former la cĂ©mentite. On a donc une structure sursaturĂ©e en carbone, qui se dĂ©forme et devient quadratique la martensite. Cette martensite prend la forme d'aiguilles. La formation de martensite commence en dessous d'une tempĂ©rature appelĂ©e Ms martensite start et se termine Ă  une autre appelĂ©e Mf martensite finish. Formule d' Andrew Ms°C = 539 - 423C - - - Mf°C = 2Ms - 650 Formation de la bainite Ă  partir de l'austĂ©nite bainite supĂ©rieure gauche ou infĂ©rieure droite Si la trempe est plus lente, ou bien si on l'arrĂȘte Ă  une tempĂ©rature intermĂ©diaire trempe Ă©tagĂ©e, on peut former de la bainite il se forme des lamelles de ferrite ferrite aciculaire, et de la cĂ©mentite vient se former soit entre ces lamelles, on parle de bainite supĂ©rieure, ou bien Ă  l'intĂ©rieur des aiguilles, bainite infĂ©rieure. La bainite est un peu moins dure que la martensite, mais plus ductile ; la bainite infĂ©rieure a une meilleure rĂ©silience. Dans le cas de la martensite comme de la bainite, il s'agit d'un durcissement structural les carbures sont trĂšs durs, et la forme d'aiguille implique un grand nombre de joints de grain Loi de Hall-Petch. Gradient de tempĂ©rature lors d'une trempe Lors de la trempe, la chaleur fuit par la surface de la piĂšce. L'extĂ©rieur se refroidit donc plus vite que le cƓur. Si la piĂšce est massive, on peut donc n'avoir qu'une trempe superficielle seule la couche extĂ©rieure se refroidit suffisamment vite pour prendre la trempe, la cƓur de la piĂšce reste classique » ferrite + cĂ©mentite. Essai Jominy ; les empreintes sphĂ©riques sur le mĂ©plat droite symbolisent les essais Rockwell Pour tester ceci, on pratique l'essai Jominy on prĂ©lĂšve une Ă©prouvette cylindrique que l’on chauffe austĂ©nitisation ; on projette de l'eau sur une des extrĂ©mitĂ©s de l'Ă©prouvette, on a donc une vitesse de refroidissement plus rapide de ce cĂŽtĂ©-lĂ  que de l'autre ; on fait un mĂ©plat sur le cylindre et on y effectue des mesures de duretĂ© Rockwell en fonction de la distance Ă  l'extrĂ©mitĂ© trempĂ©e, ce qui permet d'estimer l'Ă©paisseur prenant la trempe. Pour faciliter la trempe, c'est-Ă -dire avoir une transformation martensitique ou bainitique avec une vitesse de refroidissement plus lente, ou bien avoir une trempe Ă  cƓur avec des piĂšces massives, il faut utiliser un acier avec de faibles teneurs en impuretĂ©s ; avoir suffisamment de carbone, Ă©lĂ©ment essentiel de la martensite ; ajouter des Ă©lĂ©ments permettant d’éviter la formation de ferrite et de cĂ©mentite des Ă©lĂ©ments gammagĂšnes comme le nickel et le manganĂšse, qui retardent la transformation austĂ©nite → ferrite/cĂ©mentite c'est-Ă -dire abaisse la tempĂ©rature de transformation, la baisse de tempĂ©rature rĂ©duisant la mobilitĂ© du carbone, des Ă©lĂ©ments qui forment des carbures et donc retiennent » le carbone, l'empĂȘchent de former de la cĂ©mentite, comme le chrome, des Ă©lĂ©ments qui retardent la formation de la perlite, comme le molybdĂšne. Le refroidissement rapide provoque une contraction rapide du mĂ©tal, et par ailleurs, la formation de la martensite provoque une dilatation de l’ordre de 4 % passage d'une structure CFC Ă  une structure quasiment CC. Cela provoque des contraintes internes. Hypertrempe[modifier modifier le wikicode] L'hypertrempe est un refroidissement rapide ne permettant pas la formation de martensite. On obtient ainsi un acier austĂ©nitique austĂ©nite mĂ©tastable, avec une limite Ă©lastique assez basse de l’ordre de 200 MPa donc trĂšs ductile et facilement formable, mais assez difficilement usinable et avec une tenue mĂ©canique mĂ©diocre nĂ©cessitant des piĂšces massives. C'est le cas de nombreux aciers inoxydables. Tout traitement thermique subsĂ©quent, en particulier soudure, peut altĂ©rer cet Ă©tat. Revenu[modifier modifier le wikicode] Le revenu est un chauffage qui suit la trempe et qui sert Ă  l'adoucir ». En effet, si la trempe augmente la limite Ă©lastique Re, elle diminue Ă©galement la ductilitĂ© A% et la rĂ©silience Kc. L'acier rĂ©siste donc moins bien Ă  la propagation des fissures, il est plus fragile. Le revenu permet de redonner un peu de ductilitĂ©, mais diminue la limite Ă©lastique. Le chauffage s'effectue en dessous de la limite de formation de l'austĂ©nite A1, en gĂ©nĂ©ral vers 600 °C. Le but est permettre au carbone de diffuser et donc de transformer une certaine proportion de martensite en ferrite α et cĂ©mentite ; de transformer l'austĂ©nite rĂ©siduelle en bainite, voire parfois en martensite lors du refroidissement. On maintient la tempĂ©rature pendant un certain temps » — palier — puis on effectue un refroidissement lent jusqu'Ă  la tempĂ©rature ambiante. Le revenu peut aussi ĂȘtre utilisĂ© pour faire prĂ©cipiter une phase durcissante aux joints de grain, des carbures d'Ă©lĂ©ments d'alliage Mo, W, Ti, Nb ces Ă©lĂ©ments ont Ă©tĂ© piĂ©gĂ©s dans la matrice de fer au cours de la trempe ou de l'hypertrempe, et le revenu leur permet de diffuser. On peut ainsi obtenir un durcissement structural ; le traitement est dit de vieillissement » ageing, l'acier est dit maraging martensite ageing. Par contre, le revenu peut aussi provoquer une migration d'impuretĂ©s vers les joints de grain ce qui cause une fragilitĂ©, dite fragilisation au revenu ». Un ajout de molybdĂšne peut Ă©viter ce problĂšme. Recuit[modifier modifier le wikicode] TempĂ©rature de traitement thermique des aciers en fonction de la teneur en carbone recuit de recristallisation ; recuit de dĂ©tensionnement ; tempĂ©rature de trempe ; recuit complet ; recuit d'homogĂ©nisation. Le recuit est un cycle chauffage-maintien en tempĂ©rature-refroidissement lent, effectuĂ© avec une tempĂ©rature de palier. Contrairement au revenu, il n’est pas utilisĂ© aprĂšs une trempe. On ajuste la tempĂ©rature et la durĂ©e selon l'effet voulu. Si l’on chauffe au dessus de A3 pour un hypoeutectoĂŻde, au dessus de Acm pour un hypereutectoĂŻde, on transforme l'acier totalement en austĂ©nite. Cela permet la diffusion des Ă©lĂ©ments de maniĂšre homogĂšne, et l’on reforme totalement la structure stable ferrite+perlite ou perlite+cĂ©mentite lors du refroidissement lent. Il peut survenir un problĂšme de grossissement des grains d'austĂ©nite, ce qui donne un acier avec une limite Ă©lastique basse ou une structure fragile WidmanstĂ€tten. On parle de recuit de normalisation, lorsque l’on veut livrer un matĂ©riau dans un Ă©tat standard appelĂ© N » ; le but essentiel est d’avoir une limite Ă©lastique relativement basse, qui facilite la mise en forme pliage, cintrage, estampage et l'enlĂšvement de matiĂšre usinage ; recuit d'homogĂ©nĂ©isation on cherche Ă  Ă©liminer la sĂ©grĂ©gation qui se produit lors de la solidification ; recuit de rĂ©gĂ©nĂ©ration on reste peu longtemps dans la zone austĂ©nitique, les grains d'austĂ©nite sont donc fin, on obtient donc une structure fine Ă  haute limite Ă©lastique loi de Hall-Petch. Le recuit de normalisation est quasiment systĂ©matique sur les piĂšces en acier moulĂ©, afin d'Ă©liminer la ferrite aciculaire structure de WidmanstĂ€tten qui a pu se former lors de la solidification. Si l’on chauffe en dessous de la zone austĂ©nitique en dessous de A1, on n'a pas de transformation austĂ©nitique. L'Ă©lĂ©vation de tempĂ©rature augmente la mobilitĂ© des atomes et permet de diminuer les dislocations et donc de relaxer l'Ă©nergie Ă©lastique stockĂ©e pendant la dĂ©formation en augmentant la tempĂ©rature, on augmente aussi la diffusion et donc les dislocations vont disparaĂźtre. On fait un adoucissement du mĂ©tal ; ce phĂ©nomĂšne porte le nom de restauration. Ă©ventuellement de former de nouveaux cristaux pour Ă©liminer la texture anisotrope rĂ©sultant de la mise en forme Ă©crouissage, on parle de recuit de recristallisation les atomes de fer modifient leur position et se rĂ©organisent selon un rĂ©seau ayant les mĂȘmes propriĂ©tĂ©s mais ayant une orientation diffĂ©rente, on a donc un acier isotrope. ÉlĂ©ments d'alliage et impuretĂ©s[modifier modifier le wikicode] Les aciers contiennent d'autres Ă©lĂ©ments que le fer et le carbone. Lorsqu’il s'agit d'Ă©lĂ©ments rĂ©siduels non voulus mais provenant du procĂ©dĂ© de fabrication par exemple contenus dans le minerai ou les objets de recyclage, on parle d'impuretĂ©s. Lorsqu’il s'agit d'Ă©lĂ©ments ajoutĂ©s volontairement pour donner des propriĂ©tĂ©s particuliĂšres Ă  l'acier, on parle d'Ă©lĂ©ments d'alliage. ImpuretĂ©s[modifier modifier le wikicode] Les trois impuretĂ©s les plus nĂ©fastes sont l'hydrogĂšne H il peut provenir des rĂ©actions avec l'eau ou bien d'un soudage ; le soufre S ; le phosphore P. Ces trois Ă©lĂ©ments provoquent une fragilisation. Une des prĂ©occupation principale de la mĂ©tallurgie est d'Ă©liminer ces Ă©lĂ©ments utilisation de laitier riche en carbure de calcium ou en chaux pour piĂ©ger le soufre, bullage d'oxygĂšne pour oxyder des Ă©lĂ©ments et les piĂ©ger dans du laitier C, Mn, Si, P, dĂ©gazage sous vide pour Ă©liminer entre autres l'hydrogĂšne. Notons que le soufre peut ĂȘtre utilisĂ© comme Ă©lĂ©ment d'alliage pour amĂ©liorer l'usinabilitĂ©. ÉlĂ©ments d'alliage[modifier modifier le wikicode] Certains Ă©lĂ©ments d'alliage peuvent avoir plusieurs effets. Carbone[modifier modifier le wikicode] PrĂ©cipitation les Ă©lĂ©ments inclus dans le prĂ©cipitĂ© ne sont plus disponibles pour l'acier Le carbone est un Ă©lĂ©ment particulier. NĂ©cessaire en raison du procĂ©dĂ© d'Ă©laboration, sa teneur conditionne de nombreuses propriĂ©tĂ©s de l'acier en changeant la structure stable ferrite, cĂ©mentite, perlite ; en permettant la formation de martensite ; en formant des prĂ©cipitĂ©s avec les autres Ă©lĂ©ments d'alliage carbures. Pour un usage mĂ©canique, plus on a de carbone, plus l'acier est dur hors trempe et facilement trempable ; le carbone provoque donc un durcissement. Cependant, en formant des carbures aux joints de grain avec les autres Ă©lĂ©ments, il provoque une fragilisation ; par ailleurs, il pompe » les Ă©lĂ©ments d'alliage qui ne peuvent alors plus jouer leur rĂŽle. La formation de carbures peut survenir lors de traitements thermique, lorsque l’on chauffe l'acier soudure, recuit, revenu. ÉlĂ©ments alpha- et gammagĂšnes[modifier modifier le wikicode] Diagramme de Schaeffler ; A = austĂ©nite, F = ferrite, M = martensite, les lignes de pourcentage indiquent la proportion de ferrite dans l'austĂ©nite ÉlĂ©ments alphagĂšnes Les Ă©lĂ©ments alphagĂšnes stabilisent la ferrite α aux dĂ©pens de l'austĂ©nite Îł. L'Ă©lĂ©ment alphagĂšne principal est le chrome Cr Ă  hautes teneurs > 8 %m. Les autres Ă©lĂ©ments alphagĂšnes sont le molybdĂšne Mo, le silicium Si, le titane Ti, le niobium Nb, le vanadium Va, le tungstĂšne W, l'aluminium Al et le tantale Ta. ÉlĂ©ments gammagĂšnes Les Ă©lĂ©ments gammagĂšnes stabilisent l'austĂ©nite Îł aux dĂ©pens de la ferrite α. Les Ă©lĂ©ments gammagĂšne principaux sont le carbone C et le nickel Ni. Les autres Ă©lĂ©ments gammagĂšnes sont l'azote N, le cobalt Co et le manganĂšse Mn, ainsi que le chrome Cr Ă  faibles teneurs < 8 %m. les Ă©lĂ©ments gammagĂšne amĂ©liorent la trempabilitĂ© en retardant la transformation α → Îł, ils permettent de garder le carbone en solution solide Ă  plus basse tempĂ©rature. Lorsque survient alors la transformation displacive α → Îł, la mobilitĂ© du carbone, qui est thermiquement activĂ©e, est plus faible, ce qui permet de le garder captif. Chrome et nickel Ă©quivalents Les aciers ont parfois de nombreux Ă©lĂ©ments d'alliage. Pour dĂ©terminer les phases que l’on obtient Ă  tempĂ©rature ambiante, on dĂ©termine l'influence des Ă©lĂ©ments alphagĂšnes en calculant la teneur en chrome Ă©quivalent », on dĂ©termine l'influence des Ă©lĂ©ments gammagĂšnes en caculant la teneur en nickel Ă©quivalent » alphagĂšnes Creq = %Cr + 1,5Si% + %Mo + 0,5%Nb gammagĂšnes Nieq = %Ni + 0,5%Mn + 30%C et l’on reporte le point sur un diagramme, le plus couramment utilisĂ© dans le cadre de la soudure Ă©tant le diagramme de Schaeffler. La zone dans laquelle se trouve le point indique les phases en prĂ©sence. Dans la zone biphasĂ©e austĂ©nite + ferrite Îł + α, on trace des droites indiquant la proportion des phases ; ces droites sont appelĂ©es droites de conjugaison, ou conodes. Le diagramme de Schaeffler est pertinent pour les piĂšces brutes de solidification ; pour les piĂšces laminĂ©es, on utilise un diagramme lĂ©gĂšrement diffĂ©rent, le diagramme de Pryce et Andrews. Exemple Un acier inoxydable typique utilisable en milieu marin, un 18-10 D », a environ 0,05 % en masse de carbone, 18 % de chrome, 10 % de nickel et 2 % de molybdĂšne. On a donc alphagĂšnes Creq = 18 + 1,5 × 0 + 2 + 0,5 × 0 = 20 % ; gammagĂšnes Nieq = 10 + 0,5 × 0 + 30 × 0,05 = 11,5 %. Sur le diagramme de Schaeffler, on voit que dans les conditions de trempe d'une soudure, il s'agit d'un acier austĂ©no-ferritique avec environ 7 % de ferrite. ÉlĂ©ments carburigĂšnes[modifier modifier le wikicode] Les Ă©lĂ©ments carburigĂšnes forment des carbures. Le principal Ă©lĂ©ment est le molybdĂšne Mo. On utilise aussi le titane Ti, le niobium Nb et le tungstĂšne W. Les Ă©lĂ©ments carburigĂšnes permettent de capturer » le carbone et empĂȘcher la formation de carbures avec d'autres Ă©lĂ©ments, en particulier avec le chrome. En effet, certains carbures, en particulier les M23C6 M dĂ©signant un atome mĂ©tallique, comme le Cr23C6, prĂ©cipitent aux joints de grain. Cela fragilise l'acier, et le rend plus sensible Ă  la corrosion par appauvrissement en chrome. Par ailleurs, en freinant le carbone, ils ralentissent la formation de carbure de fer cĂ©mentite et perlite, et donc amĂ©liore la trempabilitĂ©. Enfin, les carbures formĂ©s TiC, NbC, WC peuvent former une fine prĂ©cipitation aux joints de grain qui peut augmenter la limite Ă©lastique durcissement structural. ÉlĂ©ments nitrurigĂšnes[modifier modifier le wikicode] Le titane et le niobium forment par ailleurs facilement des nitrures. Cela permet de piĂ©ger l'azote N et donc de diminuer sa teneur dans la matrice. Par ailleurs, les prĂ©cipitĂ©s de nitrures aux joints de grain peuvent limiter le grossissement des grains lors d'un traitement thermique, grossissement de grain qui diminue la limite Ă©lastique loi de Hall-Petch ; on parle d'acier stabilisĂ© ». Ces nitrures peuvent aussi augmenter la limite Ă©lastique durcissement structural. ÉlĂ©ments passivants[modifier modifier le wikicode] Les Ă©lĂ©ments passivants sont des Ă©lĂ©ments qui s'oxydent et forment une couche d'oxyde protectrice, contrairement Ă  l'oxyde de fer qui est poreux et friable rouille. L'Ă©lĂ©ment passivant principal est le chrome, qui forme de la chromine Cr2O3, mais son effet se manifeste lorsqu’il est prĂ©sent Ă  plus de 10 % en masse. ÉlĂ©ments facilitant l'usinabilitĂ©[modifier modifier le wikicode] L'Ă©lĂ©ment principal facilitant l'usinage est le soufre. Il est utilisĂ© en particulier pour les aciers de dĂ©colletage, le dĂ©colletage Ă©tant un usinage en grande sĂ©rie et Ă  grande vitesse. On a aussi utilisĂ© le plomb. Pour les aciers inoxydables, on utilise une injection de fil fourrĂ© au SiCa le souffre ne pouvant pas ĂȘtre utilisĂ©. PropriĂ©tĂ©s mĂ©caniques[modifier modifier le wikicode] Les aciers ont quasiment tous le mĂȘme module de Young E ≃ 200 GPa. L'austĂ©nite a un module de Young plus faible que la ferrite Eferrite = 207 GPa ; EaustĂ©nite = 193 GPa. La ferrite a une masse volumique ρ de 7 874 kg/m3, celle de l'austĂ©nite vaut 8 679 kg/m3. On utilise en gĂ©nĂ©ral des acier hypoeutectoĂŻdes moins de 0,77 % de carbone. De maniĂšre globale les aciers austĂ©nitiques sont trĂšs ductiles mais ont une limite Ă©lastique trĂšs basse, en effet, leur structure cubique Ă  face centrĂ©e permet de nombreux glissements faciles entre les plans cristallins ; ils sont facilement formables Ă  tempĂ©rature ambiante ; les aciers martensitiques ou bainitiques aciers trempĂ©s ont une haute limite Ă©lastique mais une faible ductilitĂ© voir ci-dessus ; les aciers ferritiques sont entre les deux. Voici Ă  titre indicatif des valeurs typiques. PropriĂ©tĂ©s mĂ©caniques typiques d'aciers hypoeutectoĂŻdes Acier Limite Ă©lastiqueRe MPa Allongement Ă  la ruptureA% acier extra-douxferritique trĂšs bas carbone 150 35 acier austĂ©nitiquehypertrempe 200 25-50 acier ferritique 200-400 20-25 acier martensitiquetrempe 400-1 000 10-20 PropriĂ©tĂ©s magnĂ©tiques[modifier modifier le wikicode] La ferrite et la martensite sont ferromagnĂ©tiques ; l'austĂ©nite est paramagnĂ©tique. Un aimant adhĂšre donc moins bien Ă  l'austĂ©nite qu’à la ferrite ou Ă  la martensite ; on utilise souvent le test de l'aimant » pour reconnaĂźtre un acier austĂ©nitique. L'austĂ©nite est souvent qualifiĂ©e Ă  tort d'amagnĂ©tique » ce terme n'a pas de sens physique. Au delĂ  de 770 °C point de Curie, la ferrite devient paramagnĂ©tique, elle perd son aimantation On augmente les propriĂ©tĂ©s magnĂ©tiques permĂ©abilitĂ© magnĂ©tique des aciers ferritiques par addition de silicium Ă  moins de 4 % de trop fortes teneurs fragilisent l'acier. On utilise naturellement des aciers bas carbone < 0,01 %, celui-ci Ă©tant gammagĂšne. Ce qu’il faut retenir[modifier modifier le wikicode] La structure de l'acier conditionne ses propriĂ©tĂ©s mĂ©caniques et physiques en gĂ©nĂ©ral. Elle dĂ©pend de la teneur en carbone, la structure Ă  l'Ă©quilibre est donnĂ©e par le diagramme fer-carbone ; de la vitesse de refroidissement et des traitements thermomĂ©caniques recuit permet de maĂźtriser la structure de l'acier taille des grains, isotropie, annulation de l'Ă©crouissage, prĂ©sence d'Ă©lĂ©ments gammagĂšne et hypertrempe → acier austĂ©nitique, teneur suffisante en carbone, Ă©ventuels ajouts d'Ă©lĂ©ments gammagĂšnes en particulier le nickel et carburigĂšnes en particulier le molybdĂšne, et trempe → acier martensitique ; le revenu permet d'adoucir la trempe et de rendre l'acier moins fragile. Le chrome Ă  haute teneur supĂ©rieure Ă  10 %m confĂšre une rĂ©sistance Ă  la corrosion en formant une couche protectrice d'oxyde, dite couche passive, ce qui permet de faire des aciers dits inoxydables ». Le carbone peut former des carbures qui prĂ©cipitent aux joints de grain avec divers Ă©lĂ©ments d'alliage et ainsi fragiliser l'acier ou bien rĂ©duire sa rĂ©sistance Ă  la corrosion piĂ©geage du chrome. Les aciers fortement alliĂ©s sont pour cela en gĂ©nĂ©ral Ă  basse teneur en carbone. Voir aussi[modifier modifier le wikicode] Fanchon 2008 p. 153-160 Notes[modifier modifier le wikicode] CaractĂ©ristiques mĂ©caniques de l’acier Module d’élasticitĂ© longitudinale E= DaN/cmÂČ Coefficient de poisson Μ= Coefficient d’élasticitĂ© transversale G= DaN/cmÂČ Dilatation λ=11*10^-6 Masse volumique ρ=7850 DaN/mÂł Pour comparaison le bĂ©ton a une masse volumique de 2400 DaN/mÂł Division suivant les critĂšres d’emploi aciers de bases non alliĂ©s Non Alloyed Steels aciers de qualitĂ© non alliĂ©s aciers spĂ©ciaux alliĂ©s ou non Nuances utilisables en CM Steel Grades S235 E24 utilisĂ© quelque soit la structure S275 E28 utilisĂ© parfois S355 E36 ponts, ouvrages d’art, bĂątiments de grandes portĂ©e Les nouvelles normes europĂ©ennes les nouvelles normes europĂ©ennes n’ont pas fondamentalement changĂ©s les caractĂ©ristiques des aciers normalisĂ©s. Aussi est il utile d’établir une correspondance entre anciennes et nouvelles notations Norme EN 10025 elle est tout Ă  fait essentielle en construction mĂ©tallique en ce qu’elle dĂ©finit les aciers constitutifs de la trĂšs grande majoritĂ© des produits sidĂ©rurgique utilisĂ©s par la profession, soit les nuances S235, S275 et S355. Il s’agit d’aciers non alliĂ©s, prĂ©vus en principe pour la rĂ©alisation d’ouvrages destinĂ©s au service Ă  tempĂ©rature ambiante. La norme dĂ©finit les nuances d’aciers, les classes de qualitĂ©s, ainsi que les caractĂ©ristiques mĂ©caniques en fonction de l’épaisseur Norme EN 10113 elle traite d’aciers non alliĂ©s ou d’aciers spĂ©ciaux alliĂ©s, tous soudables suivant les procĂ©dĂ©s courants. Il s’agit d’acier prĂ©vus en principe pour la rĂ©alisation d’ouvrages soudĂ©s fortement sollicitĂ©s, destinĂ©s au service Ă  tempĂ©rature ambiante ou basse. Outre les nuances dĂ©jĂ  vues S235, S275, S355, cette norme dĂ©finit Ă©galement une gamme d’aciers Ă©tendus aux hautes limites Ă©lastiques avec les nuances S420 et S460. La structure de ces aciers est Ă  grains fins, l’azote Ă©tant systĂ©matiquement fixĂ© par des Ă©lĂ©ments d’additions, et les compositions chimiques plus Ă©laborĂ©es que celles de la norme EN 10025. La norme dĂ©finit aussi la limite d’élasticitĂ© des aciers normalisĂ©s en fonction de l’épaisseur nota pour les aciers obtenus par laminage thermomĂ©canique les valeurs sont les mĂȘmes mais il n’y a pas de rĂ©duction de la limite d’élasticitĂ© entre 63 et 150mm pour les produits plats l’épaisseur est limitĂ©e Ă  63mm Norme EN 10164 il s’agit d’aciers aux caractĂ©ristiques de dĂ©formations amĂ©liorĂ©es dans le sens perpendiculaire Ă  la surface du produit. Cette norme impose des essais complĂ©mentaires dans ce sens de construction. Cela est important lorsque les profilĂ©s sont soumis au risque d’arrachement lamellaire, du Ă  leur anisotropie de laminage. Norme EN 10155 il s’agit d’aciers autopatinables; leur composition comporte de faibles quantitĂ© de P, Cu, Cr, Ni, Mo; cela permet la formation en surface des produits d’une couche d’oxydes adhĂ©rente et protectrice; pour que la couche puisse se mettre en place, il faut une alternance de phases sĂšches et de phases humides, donc attention en milieu marin ou en atmosphĂšre humide non ventilĂ©e. Norme EN 10088 il s’agit d’aciers inoxydables Stainless Steels. Du fait de leur caractĂšre d’aciers alliĂ©s, les aciers inoxydables prĂ©sentent une certaine variabilitĂ© de leurs caractĂ©ristiques physiques et mĂ©caniques densitĂ©, dilatation, module de Young
. A noter que dĂ©gradation du module de Young avec la contrainte subie par l’acier accroĂźt la sensibilitĂ© des sections aux phĂ©nomĂšnes de voilement local de compression et de cisaillement. Cela conduit les codes Ă  limiter les Ă©lancements de parois plus sĂ©vĂšrement que pour les aciers usuels. On utilise deux types en construction mĂ©tallique aciers inoxydables au chrome et au nickel aciers inoxydables au chrome, au nickel et au molybdĂšne les aciers au chrome seul ne prĂ©sentent pas une assez bonne soudabilitĂ© valeurs de calcul normalisĂ©e Ă  utiliser pour conduire les calculs selon les rĂšglements en vigueur Choix des aciers en construction mĂ©tallique Choix de la nuance Steel Grade La limite d’élasticitĂ© est appelĂ©e Ă  servir de rĂ©fĂ©rence dans les calculs de dimensionnement, et donc on peut ĂȘtre amenĂ© Ă  rechercher le niveau le plus Ă©levĂ© de contrainte admissible, car il en rĂ©sulte une Ă©conomie sur les coĂ»ts de matiĂšre une mise en Ɠuvre plus aisĂ©e en atelier une amĂ©lioration des conditions de transport et de montage NĂ©anmoins il arrive souvent que ce soit les limitations de flĂšches et non le niveau des contraintes qui rĂ©gissent le dimensionnement. De plus l’augmentation de flexibilitĂ© qui rĂ©sulte d’une plus haute limite Ă©lastique peut aggraver des effets dynamiques Ă©ventuels, comme ceux du vent, et rend aussi plus pĂ©nalisants les critĂšres de rĂ©sistance des Ă©lĂ©ments soumis aux diffĂ©rents phĂ©nomĂšnes d’instabilitĂ©. Choix de la qualitĂ© Steel Quality les Ă©tats de contraintes triaxiales complexes que l’on rencontre dans les structures ne sont que pauvrement reprĂ©sentĂ©es par l’essai de traction et la dĂ©termination de la limite d’élasticitĂ© comme unique critĂšre de dimensionnement. On complĂšte donc la notion de nuance par celle de qualitĂ©, qui traduit l’aptitude de l’acier Ă  supporter ces Ă©tats de contraintes et sa sensibilitĂ© au phĂ©nomĂšne de rupture fragile qu’ils sont susceptibles de gĂ©nĂ©rer. Les aciers de constructions sont assortis d’une garantie d’obtention du niveau d’énergie de rupture de 27 joules, choisi comme seuil de comportement ductile de l’acier, pour des tempĂ©ratures allant de 20°C Ă  –20°C. la norme EN 10025 retient trois niveau de qualitĂ© possibles JR pour une garantie Ă  20°C J0 pour une garantie Ă  0°C J2 pour une garantie Ă  –20°C Un quatriĂšme niveau, notĂ© K2 et rĂ©servĂ© Ă  la nuance S355, correspond Ă  une Ă©nergie minimale de rupture de 40 joules Ă  –20°C. Le choix de la qualitĂ© est guidĂ© par TempĂ©rature minimale de service de l’ouvrage Epaisseur maximale des piĂšces constitutives de l’ouvrage Nuance d’acier prĂ©vue Niveau des contraintes de traction subies par la structure Nature des sollicitations du point de vue de leur vitesse d’application RigiditĂ© globale de la structure et son dessin vis-Ă -vis des effets d’entailles gĂ©omĂ©triques Transformations Ă©ventuelles des produits avant incorporation dans la construction Ă©crouissage-Ă©chauffement DĂ©signation normalisĂ©e des aciers EN 10027 il existe une dĂ©signation symbolique lettres-numĂ©ros et une dĂ©signation numĂ©rique uniquement des chiffres. La premiĂšre dĂ©signation existe sous deux forme soit on se rĂ©fĂšre aux caractĂ©ristiques mĂ©caniques des aciers groupe1, soit on se rĂ©fĂšre Ă  leurs compositions chimique groupe2 DESIGNATION SYMBOLIQUE - ACIERS DU GROUPE 1 Symboles principaux Symboles additionnels pour l’acier Symboles additionnels pour l’acier 1 a caractĂšres alphabĂ©tique; n caractĂšres numĂ©rique; an caractĂšres alpha-numĂ©riques Symboles principaux ils sont suivis de la valeur minimale de la limite d’élasticitĂ© ou de la rĂ©sistance minimale Ă  la traction, en MPa Symboles additionnels pour l’acier on utilise d’abord le sous-groupe1, puis en cas de nĂ©cessitĂ© on ajoute les symboles du sous-groupe2 Symboles additionnels pour les produits en aciers Symbole pour type de revĂȘtement Symboles pour type de traitement DESIGNATION SYMBOLIQUE - ACIERS DU GROUPE 2 Aciers non alliĂ©s spĂ©ciaux Sous groupe Sous groupe Aciers alliĂ©s spĂ©ciaux Sous groupe Sous groupe Rappel nomenclature internationale des Ă©lĂ©ments chimiques Traitement de surface ces traitements permettent d’accroĂźtre considĂ©rablement la duretĂ© superficielle de la piĂšce, sa rĂ©sistance Ă  la corrosion ou son esthĂ©tique

couleur de l acier en fonction de la température